Musée du téléphone
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1910 - 1920

Même si le téléphone reste un objet élégant, de prestige, il commence à être fabriqué en série.
Les téléphones les plus représentatifs de 1910 sont des appareils à la base en bois en forme de cube, surmontés d’une colonne en latin nickelée sur laquelle viennent se fixer le combiné métallique sur la fourche, et l’écouteur supplémentaire à l’arrière.
Le modèle installé par l’Etat se surnomme « Marty 1910 ».

Mais beaucoup de fabricants proposent le même modèle avec simplement leur nom sur la plaque de fabrication et le numéro de marché signé avec les PTT pour l’approvisionnement  de terminaux. On trouve les sociétés HAMM, AOIP, BURGUNDER, etc.
Voir l’étagère du haut.

Ces modèles que l’on pose en général sur le bureau s’appellent des appareils « mobiles »
Ce modèle existe aussi sous la forme de téléphone mural (que l’on peut accrocher au mur).

Applique murale 1910. Avec combiné à gauche de l’appareil, écouteur supplémentaire en dessous. La partie « téléphone » est fixée sur une « boîte à sel ». La partie basse recevait deux batteries chargées d’alimenter la ligne téléphonique en énergie. Ce n’est qu’à partir de l’année 1924 que l’énergie est fournie par les centraux téléphoniques (batterie centrale).
Les techniciens venaient régulièrement remplacer les batteries et les rechargeaient grâce à un système d’électrolyse. 
Modèle exposé au bas de cette vitrine.

Sur l’étagère du centre on retrouve des postes téléphoniques typiques des années 1920 
Sur la gauche , un SIT Majorelle de 1919, à droite un téléphone de La Séquanaise d’Electricité de 1920 et au centre un téléphone Grammont de 1920.